Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
DE L'ALASKA A USHUAIA
DE L'ALASKA A USHUAIA
Publicité
Archives
17 août 2010

EQUATEUR Aout 2010 Superficie 283.500km2 –

EQUATEUR Aout 2010

DRAPEAU_EQUATEUR

Superficie 283.500km2 – population  14.000.000 habitants – Capitale QUITO –

Sommet le plus élevé le Chimborazo 6310 m

Monnaie le dollar US, à ce jour le dollar équivaut à 1€31

Langue parlée l’Espagnol

Pays exportateur de pétrole, bananes, cacao, café, sucre, poissons congelés, crevettes et fleurs

Prix du diesel 1$03, 79ct d’€ le gallon (3litre80) soit 20 cts le litre de diesel.

Mercredi 4 Aout

« Bienvenidos en Ecuator », nous a dit aimablement le douanier. C’est très accueillant. Les formalités ont été assez rapides, nous avons rencontré une Suissesse, qui se rendait en bus à Quito.

Nous voilà donc dans un nouveau pays.

Un peu en colère ce matin, ne retrouvant plus mes chaussures, probablement et même certainement fauchées hier par un gars que nous avons pris à Cumbal pour l’emmener chez lui, et qui sous son poncho a pu dissimuler son vol.  Ce n’est rien à côté des vols d’appareils photos ou de carte visa mais c’est tout de même rageant.

Les jeunes argentins rencontrés à Salento, nous avait conseillé d’aller à Tulcán près de la frontière, pas déçus de la visite. Tulcán, ville la plus haute du pays 2950 m porte un nom maya qui signifie "Guerrier vaillant". Elle n’a rien de spécial, si ce n’est son cimetière très particulier. Les célébrités de ce petit cimetière, sont ses statues. Bon, bien sur, allez vous dire, des statues il y en a partout, mais celles-ci, sont sculptées dans des cyprès. Ce sont des oiseaux, vierges, indiens tortues, christ, croix, etc. Commencée il y a plus de 60 ans, par un passionné, l’œuvre se perpétue grâce à son fils. Plusieurs ouvriers sont présents tous les jours pour tailler ces véritables chefs d’œuvre, et il y en a beaucoup.

1___04_08_10_CIMETIERE_de_TULCAN_Taille_de__CYPRES

2___04_08_10_CIMETIERE_de_TULCAN_Taille_de__CYPRES

14___04_08_10_CIMETIERE_de_TULCAN_Taille_de__CYPRES

De Tulcán, direction Otavalo. Excellente route, 2 péages mais à 1$ chacun, ce ne sont plus les 7000  pesos voir plus de Colombie. Puis arrêt pour éclatement d’un pneu. Heureusement il y avait une voie de secours, mais nous étions à côté du cadavre d’un chien, les odeurs et les mouches, n’étaient pas très agréables. Nous voici maintenant, après  la 3ème crevaison, sans roue de secours, et sans notre pneu de réserve. La vie est belle n’est ce pas ? Oh il y a pire, et puis la route  pour arriver à Otavalo est bonne. Nous avons été reçus par Dennis et nous nous sommes installés sur le terrain prévu pour les C.Car et les tentes à côté de son hôtel, terrain sur herbe, et au calme.

Jeudi 5 Aout

Otavalo

Nous sommes à un peu plus de 2500m alt., et à 86 kms de Quito. Célèbre par son marché très animé du samedi, Otavalo doit son nom au peuple Otavalos considérés comme les plus courageux des Andes. Les femmes portent le costume traditionnel soit une jupe longue noire, une blouse blanche brodée et un petit chapeau de feutre noir, les hommes sont chapeautés aussi. Outre leurs costumes, on les distingue par leur petite taille.  Ce sont d’habiles tisserands. Mais nous avons rencontré beaucoup de personnes âgés, décharnées, pliées en deux et demandant l’aumône.

3___05_08_10_OTAVALO

49___06_08_10_OTAVALO

4___05_08_10_OTAVALO5__05_08_10_OTAVALOBien que ce ne soit pas samedi, il y a un petit marché de fruits et légumes et quelques stands de vêtements. Certaines femmes bavardent en écossant des petits pois qu’elles vendent ensuite, ce qui est bien pratique. Tout nous semble bon marché, mais c’est trompeur, car c’est en dollar, et il est vrai qu’en payant en pesos colombiens cela nous  paraissait beaucoup, le dollar est plus proche de notre monnaie pour le calcul c’est plus facile. Après avoir fait quelques achats, ce fut le retour à « El rincon del viajejo ».

En arrivant, nous avons trouvé Lars et Yanni, sympathique Danois, voyageant en camping depuis un an et demi et venant de l’Amérique du Sud. Nous nous sommes promis pour le lendemain des échanges d’infos.

Vendredi 6 Aout

Otavalo

Le soleil fit son apparition, et nous avons décidé de rester sur place, d’abord parce que l’on était bien, puis pour étudier mutuellement les parcours fait avec nos charmants voisins. Cela nous a pris un peu de temps bien agréablement, et on avait déjà l’impression de connaitre la suite de notre voyage.

J’oubliais de vous parler de notre petit copain Justin de 5 ans Fils d’une employée de l’hôtel, et qui voulait nous faire le ménage. Il fut également surpris de voir nos petits enfants sur la webcam, et voulait les toucher à travers l’écran. Tantôt allant dans un camping car tantôt dans l’autre, un peu collant par moment, mais très gentil.

Ce soir plus de gaz. Donc il va falloir résoudre les problèmes de pneus et de gaz demain.

Samedi 7 Aout

Otavalo

Dennis nous a indiqué une station de Gaz, et il nous a fallut retourner à Ibarra 25 kms au nord.

Hélas la station était fermée, de plus, il est peu probable que l’on puisse faire remplir notre bouteille de GPL en équateur nous a-t-on dit. Pas de panique.

Par contre, nous avons trouvé des pneus, et en avons prévu un supplémentaire.

C’est samedi, retour sur Otavalo nous ne voulons pas manquer le marché, très important il est vrai. Beaucoup de produit artisanal, et pas mal de touristes étrangers. Une découverte amusante, nous avons vu les mêmes pulls en alpagas que nous avions achetés avec Annick l’an dernier en Alaska et qui provenait du Pérou. Donc production locale ?

6____05_08_10_OTAVALO

Des pneus, mais pas de gaz, retour alors au camping où nous avons l’électricité, la douche chaude, et la possibilité de nous servir de la gazinière pour notre repas.

Il y a aussi la wifi, et nous pouvons à loisir utiliser notre ordinateur.

Dimanche 8 Aout

Otavalo à Quito

Nous étions piégés ce matin, il n’y avait personne, l’hôtel était ouvert, mais pas de voiture, et les portails fermés. Pas très contents tous les quatre, nous avons du attendre plus de 2 heures pour voir apparaître le fils du patron. Enfin nous avons repris la route pour aller à la « Mitad del Mundo, » le centre du monde. Belle voie que cette panaméricaine en Equateur, avec des paysages plutôt désertiques. Puis dur de trouver la bonne route pour aller à la Mitad, et après avoir demandé de nombreuses fois, nous avons pu y arriver. C’est dimanche, beaucoup de monde. Ce parc, outre un monument gigantesque avec le globe de la terre à son sommet, a plusieurs bâtiments, dont un français, et un espagnol, expliquant  les  premières explorations, les premières cartes géographiques, et  un planétarium entre autre. Tout autour on rencontre de petites boutiques artisanales, et restauration. Un groupe de musiciens se produisait sur la scène avec à ses pieds, ses groupies. Nous aurions aimé rester pour la nuit sur le grand parking, mais après avoir demandé à un responsable, ce fut non à notre grande déception. Il nous a expliqué que le parc fermait et n’était plus sécurisé pour la nuit.

7___07_08_10_MITAD_DEL_MUNDO

8___07_08_10_MITAD_DEL_MUNDO

8A__07_08_10__UN_PIED_AU_NORD_UN_AU_SUD

8B__07_08_10__UN_PIED_AU_NORD_UN_AU_SUD

Comme la prochaine visite programmée, était le cratère de Pululahua, nous avons tenté d’y aller en empruntant depuis la route bitumée les 3 kms de piste assez bonne. A l’entrée le gardien s’est manifesté, et nous a autorisés à rester sur le parking pour la nuit. Il y a un fort brouillard, et nous espérons avoir du soleil demain matin pour voir le cratère.

9__09_08_10_CRATERE_PULULAHUA

10___09_08_10__PULULAHUALundi 9 Aout

Quito

Superbe soleil au lever, et vue magnifique sur le cratère. Celui-ci aujourd’hui éteint est une vaste plaine fertile. C’est le seul cratère au monde à être peuplé. Il a été déclaré Parc national et réserve géobotanique.

Un sentier pavé mène au belvédère, et sur le parcours, des panneaux sont mis en évidence, pour la protection de la nature. C’est un endroit agréable et relaxant, où il ferait bon méditer. Puis un peu de temps pour chercher du GPL, sans succès, hélas ont va devoir faire sans pendant quelques jours. A moins que !...

Ensuite ce fut Quito, ville peuplée d’environ 3.000.000 habitants. Direction le Parqueadéro Carabelas, que notre Garmin a bien voulu nous trouvé grâce à Lars et Janni qui nous ont mis les cartes de l’Amérique du Sud. Merci à vous deux. Ca marche.

Après notre installation, nous avons l’électricité pour le frigo. De là avec les explications de Camping Cariste du « Lien », nous avons trouvé la laverie, le bus pour nous rendre au centre historique. 50cts de $ le bus pour les deux quelque soit le trajet.

Quito qui signifie donc le centre du monde, fut fondée en 1534 par le Conquistador Sébastian de Belalcázar. La Ville s‘étend sur 20 km, et est située à 2.850m alt. Pour cette après midi, visite à La Compania de Jésus,  l’une des plus riches églises d’Amérique du Sud. Il a fallut 170 ans aux jésuites pour la construire.

11__10_08_10_QUITO_la_COMPANIA_DE_JESUS

12____09_08_10__QUITO_LA_COMPANA_DE_JESUS

Quand on entre, on est ébloui. Tout l’intérieur est recouvert de feuille d’or. C’est époustouflant. Nous avons déjà vue beaucoup d’églises, basiliques, mais celle là est d’une richesse incroyable. Bien sur les photos sont interdites. Mais ma moitié n’a pas résisté à prendre quelques clichés à l’insu des gardiens, cela pour le blog m’a-t-il dit.

Non loin de l’église, plusieurs merceries, magasins de tissus. Nous avons fait un tour dans l’une de ces merceries, où j’en connais une qui serait à son aise, n’est ce pas Momo ? De jolis ouvrages étaient en exposition, et plusieurs femmes apprenaient à tricoter, coudre ou à réaliser un sac, une écharpe, de la broderie. Curieuse, Je me suis intéressée à la confection d’une écharpe faite avec un ruban tissé. Il n’y a pas de modèle m’a dit la vendeuse, je vais vous montrer. En effet de A à Z, nous avons passé Dédé et moi plus d’une heure et demie à tisser notre écharpe après avoir eu les explications nécessaires, et avec patience, cette jeune personne, nous a montré comment faire les finitions. En espérant me rappeler de tout, j’ai fais quelques provisions pour peut être m’occuper sur le bateau au retour. Entre temps tout en tissant, nous avons pu converser avec une Equatorienne et sa fille qui toutes deux avaient appris le français à l’alliance Française. Cet atelier gratuit, est sensationnel, l’ambiance est très bonne et tout le monde y est admis. Retour en taxi car la nuit tombait.

13___09_08_10__QUITO_MERCERIE

14__11_07_10_QUITO_TRICO_AVEC_LES_DOIGTS

Mardi et Mercredi 10 et 11 Aout

Quito

Mardi était la fête Nationale, donc beaucoup de monde dans les rues et beaucoup de policiers. Quito a une police touristique, se trouvant dans les rues afin de renseigner aimablement d’ailleurs les touristes assez nombreux, parmi eux quelques français.

Une belle agence de tourisme sur la Plazza Grande, nous a permis d’avoir la carte de la ville, ainsi que nos billets pour le ballet folklorique Jacchigua de Quito qui se joue les mercredis et les vendredi soirs à la maison de la Culture. Puis s’ensuivent les visites à la Basilique, un peu le ND de Paris. Elle domine la ville coloniale. La Casa de Sucre (ce n’est pas une maison en sucre), mais la demeure du Maréchal Sucre, qui est devenue propriété de l’Etat. Les nombreuses églises Santo Domingo, San Francisco, la Merced, San Augustin, et bien d’autres, sont toutes aussi richement décorées. Les ordres religieux voulaient faire de Quito, la plus belle ville d’Amérique dès le XVIème siècle. Les Franciscains ont appris aux indiens et aux métis l’art, aussi bien l’ébénisterie, la peinture, le chant, la musique que la maçonnerie et la sculpture. Ces derniers ont beaucoup contribué à la construction de ces édifices religieux.

15___10_08_10_QUITO_la_BASILICA

16__10_08_10_QUITO___el__PANECILLO

Le Palacio présidentiel, que  l’on peut visiter, donne aussi sur la Plazza Grande. On peut y entrer, en présentant une pièce d’identité. Dédé n’avait pas pris la copie de son passeport, et nous n’avons pu aller que sur la terrasse qui domine la place, et où 2 gardes sont en faction.

19___11_07_10_QUITO

21a___10_08_10_QUITO

20__10_08_10_QUITO_CALLE_LA_RONDA21__10_08_10_QUITO

17___10_08_10_QUITO18__11_07_10_QUITOSur la plazza Grande, beaucoup de monde pour admirer les emblèmes faits de fleurs. Quelques manifestations aussi, dénonçant la violence féminine, et d’après une banderole mise à l’entrée d’un bâtiment de santé, 8 femmes sur 10 subiraient des violences physiques et sexuelles, ce qui nous a paru énorme.

Nous avons aussi testé la cuisine équatorienne, qui est très bonne. A coté de notre bivouac, il y a un salon de coiffure. J’en ai profité pour faire faire une couleur afin d’avoir une tête plus présentable pour sortir ce soir. De blonde je suis passée à « morado » la racine est prune, le reste mi châtain mi je ne sais quoi, mais le résultat tout de suite surprenant, n’est pas mal. La coiffeuse a du trouver que ma couleur plutôt filasse, n’allait pas.

Prêts pour notre sortie, le gardien nous a donné une clé du portail. Nos derniers moments à Quito. Bien des spectateurs, quelques touristes comme nous, pour découvrir ce Beau Ballet très coloré, présentant la vie de tous les jours. Y mêlant aussi la religion un peu dérangeante à notre point de vue.

22__11_08_10__BALLET_FOLKLORIQUE_de_QUITO

23___11_08_10__BALLET_FOLKLORIQUE_de_QUITO

24__11_08_10__BALLET_FOLKLORIQUE_de_QUITO

Retour en taxi par l’avenue Reina Victoria, où les bars étaient bien remplis, et où beaucoup vont rentrés dans de tristes états nous a dit notre chauffeur de taxi. 

Jeudi 12 Aout

Quito à La Laguna Quilotoa

Bon bout sur la panaméricaine en parfait état, puis avons bifurqué direction Zumbahua. Magnifique route de montagne avec des lacets vertigineux. Des cultures dans des pentes incroyables. Puis pour arriver à la Laguna 12 kms de chemin très poussiéreux mais faisable lentement.  Les degrés en température ont vite chuté, et l’altitude par contre à grimpé.

25__11_08_10__Rte_LAGO_QUILOTOA

26___11_08_10___LAGO_VERDE__QUILOTOAPlus de 3800m en arrivant et 7°. Un groupe de 14 Français voyageant avec un guide francophone venait de faire une ballade, ils étaient gelés. Nous sommes allés au Mirador. Beau spectacle mais brumeux.

Des expéditions scientifiques, entre autre celle du Commandant Cousteau, n’ont jamais pu mesurer la profondeur de ce lac se trouvant au fond du cratère.

27___12_08_10__LAGO_VERDE_QUILOTOA_A

Retour dans notre casa, où l’altitude a commencé à nous peser. Au dodo de bonne heure sous la couette après avoir avalé une infusion bien chaude car pas de chauffage.

Vendredi 13 Aout

Laguna Quilotoa à Pichincha

Même pas eu froid cette nuit, il faisait 6° à l’intérieur, mais on a connut pire. Donc debout rapidement, pas question de flemmarder d’autant plus que par moment le soleil faisait une petite apparition. Vite sortis pour quelques photos, le lac était plus beau que la veille. Un autre groupe de français venait d’arriver. L’Equateur est un pays qui a bien des touristes, ce qui fait que les habitants sont plus indifférents que les colombiens. Il faut aller à leur rencontre. Les femmes tournent facilement la tête surtout en montagne, et c’est difficile de les photographier.

28___12_08_10__LAGO_VERDE_QUILOTOA

29_12_08_10__LAGO_VERDE_QUILOTOA

30__12_08_10__LAGO_VERDE_QUILOTOA

31___11_08_10___LAGO_VERDE__QUILOTOA

32___12_08_10__LAGO_VERDE_BATTEUSE

33__12_08_10__FETE__LOCALLa fête se préparait dans le premier Pueblo à notre descente, et les véhicules bouchonnant, ont fait que nous avons été bloqués une quinzaine de minutes ce qui a permis quelques photos. Puis après une route excellente toute neuve, suivis par de méchantes portions de voies caillouteuses, poussiéreuses et un épais brouillard avec en plus des topes non signalées dans les villages comme si il n’y avait pas assez de trou, il nous aura fallut 7 heures pour 173 kms avec environ 45mn d’arrêt. Même pas vu de paysage, il fallait une forte attention et nos 2 paires d’yeux n’étaient pas de trop. Enfin un arrêt possible dans le parking d’un collège, où une gentille dame nous a dit que nous y serions bien tranquille.  5mn après nous avons eu la visite d’une dizaine d’enfants très curieux. Ils voulaient entrer pour voir l’intérieur. La distribution de bonbons a fait qu’ils sont partis pour continuer leur partie de ballon.

Samedi 14 Aout

Pichincha à Manta

Une route un peu moins mauvaise,  une végétation très dense bananeraies, bambouseraies, etc  de jolies maisons sur pilotis faite de bambou dont les toits sont recouverts de palmes cela pour la journée d’aujourd’hui.

34__14_08_10_Rte_de_MANTA_

A Portoviejo à la sortie, nous avons trouvé une usine de gaz, mais hélas toujours pas le bon raccord. D’après l’employé, nous devrions en trouver à Guayaquil. Puis arrêt à un centre commercial pour quelques provisions et pour nous restaurer. Peu après, Dédé ayant repéré un magasin de pare brise, s’est renseigné auprès du responsable, qui nous a dit, qu’il pouvait faire faire le même pare brise que nous avons qui est de la marque Pilote. Nous savions que des français ont fait refaire leur pare brise de CCar Rapido en Equateur. Coût environ 300 $ (moins de 250 €), Pilote nous demandait plus de 2000€ avec les frais d’envois. Aussi, bien que cela nous demande une attente de plus d’une semaine, nous nous sommes décidés à faire changer notre pare brise en espérant qu’il ne lui arrivera rien jusqu’à notre retour, et avons RV lundi pour le gabarit.

Nous sommes pour 2 nuits au camping en bord de mer, ensuite nous aviserons pour occuper notre temps.

Publicité
Publicité
Commentaires
B
Que d'itineraires passionnants! Merci pour le partage.
C
Votre e-mail m'est bien parvenu et je vous en remercie. Ce blog est une cure de jouvence pour moi; je suis heureux de revoir tous ces paysages d'Amérique latine. Sous toutes les latitudes, c'est un continent magnifique aux paysages souvent époustouflants; partout, les gens sont d'un contact facile et généralement attachants à bien des égards (pour leur ardeur au travail et leur ponctualité, je mettrai un peu plus de nuances...). <br /> Je viens de lire votre dernier post. Vous voilà passés subitement du Nord au Sud et donc, tout aussi subitement, de l'été à l'hiver: j'espère que le changement de saison n'a pas été trop rude pour vos organismes ! -:). <br /> Je ne connaissais pas le cimetière de Tulcàn, il est vraiment curieux; cependant, vos photos m'ont démoralisé quand je les compare à mes 10m de malheureux thuyas toujours en broussaille et que je dois (devrais) passer au taille-haie. <br /> A votre passage à la Mitad del Mundo, j'ai bien souri car j'ai pu constater que, depuis 200 ans, les équatoriens sont toujours à la recherche de l'Equateur; ils doivent en être à leur 3è ou 4è monument et je viens de lire sur Wikipedia que le dernier construit serait encore à 240m du bon emplacement. Tous les espoirs sont donc permis. Allez savoir pourquoi, cela m'a fait penser à la source de la Loire au Mont Gerbier de Joncs en Haute-Loire: peut-être y êtes-vous allés; pour l'éducation des touristes, là, dans un rayon d'un km, on trouve trois fermes bâties l'une sur "la vraie source", l'autre sur "l'authentique source" et la troisième sur "la source réelle"....<br /> Bonne chance pour votre GPL et votre pare-brise mais on a sûrement dû vous dire de vous méfier de "l'heure équatorienne" qui a tendance à rendre très élastiques les délais promis (elle existe aussi au Pérou... et dans bien d'autres pays).
Publicité